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Détails sur le produit
Format : Format Kindle
Taille du fichier : 159 KB
Nombre de pages de l'édition imprimée : 92 pages
Editeur : Les Belles Lettres; Édition : 1 (24 août 2015)
Vendu par : Amazon Media EU S.Ã r.l.
Langue : Français
ASIN: B0146ZUH9S
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Word Wise: Non activé
Lecteur d’écran :
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Composition améliorée:
Activé
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En savoir plus" + '
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Moyenne des commentaires client :
4.4 étoiles sur 5
4 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
n°55.085 dans la Boutique Kindle (Voir le Top 100 dans la Boutique Kindle)
Ce petit livre très bien écrit permet de comprendre la bataille du genre présentée comme une priorité vitale depuis quelques années, même en maternelle, alors même que 20% des entrants au collège sont analphabètes. Je m'égare et ne pense qu'à l'éducation... Ce livre donne une vision globale de la situation : sans concessions !
En peu de pages il fait tomber nombre des mensonges du féminisme subventionné.Un ouvrage salutaire pour que les hommes cessent d'avoir honte.
Si, sur base de l’essai de John Gray paru en 1992, vous croyiez que les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus, détrompez-vous. La théorie du genre, à laquelle Drieu Godefridi a consacré cet essai, remet en cause l’altérité sexuelle. Ce brouillage des notions de sexe et de masculin-féminin a été entériné par une convention du Conseil de l’Europe et il s’imposera dans l’ensemble des 47 Etats (dont les 28 de l’U.E.) qui y ont souscrit, avec comme conséquence juridique de soumettre 820 millions de citoyens, souvent à leur insu, à un dispositif pénal cédant une large place à l’arbitraire du juge.Dans cette vision radicale du genre, notamment prônée par la philosophe américaine Judith Butler dans son livre Gender Trouble paru en 1990, il ne s’agit plus seulement de faire droit aux revendications féministes d’une identité de rôle socio-économique, d’égalité matérielle et de partage des tâches domestiques entre hommes et femmes mais d’« éradiquer » toute distinction de nature biologique entre eux.Ce projet serait cantonné au registre des affabulations dont regorge la philosophie si le Conseil de l’Europe ne lui avait conféré une force normative. Philosophe et juriste de formation, Drieu Godefridi est donc bien placé pour en dénoncer le caractère révolutionnaire et totalitaire dans la mesure où l’entreprise ouvre à l’Etat une nouvelle voie d’ingérence par la contrainte dans la sphère privée de l’individu.
Cet ouvrage à l’écriture belle et claire est incisif, succinct et globalement bien construit. Il appréhende de façon sceptique les études de genre, qu’il présente comme composées de deux sous-branches : « homosexualiste » et « féministe ». Même si elle est souvent superficielle et schématique, la critique lancée par Drieu Godefridi à ses adversaires, partiellement fondée, pourrait les inciter à remédier à leurs propres failles.Réduction, simplification et idéologieLa loi du genreL’auteur commence par affirmer que ces deux courants sont unis par une même perception des catégories de « masculin » et de « féminin » comme relevant avant tout de la construction sociale et culturelle, à l’opposé des approches insistant sur leur origine essentiellement biologique. Mais assez vite son analyse montre aussi ce qui les distingue – notons que cette approche plus nuancée constitue un progrès certain par rapport à son essai De la violence de genre à la négation du droit.La partie consacrée au « genre homosexualiste » n’est pas dénuée d’approximations. Ainsi, l’idéalisme est défini, chez Judith Butler et en général, comme une approche conférant au langage une capacité d’engendrement du réel, alors qu’il s’agit beaucoup plus largement d’une philosophie accordant aux facteurs idéels un rôle déterminant dans l’explication de la réalité. On y lit aussi qu’idéalisme rime avec relativisme : une affirmation surprenante, même si l’on se contente d’évoquer l’approche hégélienne. Pour saisir les ressorts théoriques de la vision butlérienne, Godefridi aurait pu aller voir du côté du post-structuralisme, sans doute une référence bien plus fondamentale pour la philosophe de Berkeley. Malgré tout, l’auteur exprime des doutes justifiés à l’encontre de la déconstruction radicale du sexe autant que du genre effectuée par Butler et pousse, au fond, à se poser une question pertinente : les rapprochements des combats pour les droits des femmes et des homosexuels ne constituent-ils pas une impasse sur le plan stratégique comme intellectuel ?Une évaluation tout aussi contrastée peut être faite de la partie de l’essai consacrée aux « féministes du genre ». L’analyse proposée ici par Godefridi est foncièrement réductrice en plus d’être imprégnée de nombreux soubassements idéologiques non assumés. La principale critique assénée à ses adversaires, à savoir leur fond idéologique masqué par un vernis pseudo-scientifique, pourrait ainsi facilement lui être retournée. Autrement dit : à prétention analytique, cet ouvrage est sans doute davantage un pamphlet, dans lequel l’auteur sélectionne habilement les aspects des pensées qu’il veut détruire, et ce sans grand souci de nuance.De l’égalité à l’identitéDans la suite du livre, Godefridi résume correctement les principales cibles des « féministes du genre » : l’inégalité dans la sphère domestique, le cantonnement des femmes à certains rôles professionnels, de moindres rémunérations, et la violence faite aux femmes. Mais s’attaquant ensuite à l’usage de la notion de stéréotypes comme facteur causal de ces injustices, il subsume soudain ces différents combats sous une simple lutte contre les « inégalités matérielles ». Ce glissement est évidemment trompeur et problématique, tant il serait ardu de ramener ces différents aspects de la critique féministe aux simples inégalités matérielles.Par ailleurs, l’insistance de l’auteur sur la supposée volonté des « féministes du genre » d’imposer une « identité » des rôles masculins et féminins repose sur un prisme singulièrement réducteur. Cette saisie identitaire ou « culturelle » du genre – frappante dans les débats militants sur le sujet – est précisément ce qui a contribué à en faire oublier la nature avant tout sociale et politique. En effet, l’ambition d’amoindrir ou d’abolir des inégalités, dominations et autres discriminations n’a pas forcément pour objectif de rendre les hommes et les femmes identiques. Si un tel biais existe probablement dans une frange radicale des études des genres, cette tendance est loin d’en constituer un trait intrinsèque.Violences et stéréotypes : l’esquisse de réflexions utilesMalgré ses raccourcis et simplifications, l’essai constitue néanmoins une contribution utile au débat sur le genre. C’est le cas de son traitement – malheureusement trop rapide – de la question de la violence, déjà entamé par l’auteur dans un autre essai précédemment cité. Certes, Godefridi élude le progrès objectif que constitue la pénalisation de la violence psychologique et émotionnelle en tant que ressource symbolique et politique – autant que juridique – dans le combat plus large contre les violences. Nonobstant, il faut bien admettre que certains de ses avertissements sont pertinents, en particulier, concernant le flou de la définition formelle de ces formes particulières d’abus ou les risques d’arbitraire inclus dans leur pénalisation.On peut émettre le même jugement en deux temps quand Godefridi attaque la thèse du « continuum » entre stéréotypes et violence avancée par plusieurs auteurs : d’une part, établir ce lien ne revient nullement à postuler que la violence psychologique est exclusivement masculine, comme il semble l’affirmer. Il s’agit plutôt de montrer que le contenu « genré » des stéréotypes influence la forme et l’impact plus ou moins délétère des abus. Mais, d’autre part, il peut être utile de réfléchir à la remarque faite – trop rapidement – par Godefridi selon laquelle saisir les stéréotypes de manière détachée de toute différence biologique peut être lourd de certaines conséquences peu perçues par les experts concernés. Ainsi, selon une approche radicalement constructiviste, une socialisation distincte pourrait conduire à une situation dans laquelle le degré et l’impact de la violence n’auraient plus rien à voir avec le sexe. Pour éviter une telle conclusion a priori contre-intuitive, il n’est pas nécessaire d’avoir recours au présupposé essentialiste selon lequel les hommes seraient naturellement plus violents que les femmes. Il suffit d’admettre l’existence de distinctions physiques circonscrites et difficilement contestables, telles que la différence moyenne de force, de taille et de poids entre hommes et femmes. Sur ce point comme sur d’autres, Godefridi esquisse une critique intéressante qui, si elle était approfondie, pourrait se révéler féconde pour les études de genre elles-mêmes.De même, il est judicieux de mettre en avant les limites d’une référence « scientifique » aux stéréotypes comme facteurs explicatifs des injustices de genre. Comme le remarque l’auteur, l’incapacité à identifier une liste précise de stéréotypes rend ce raisonnement éminemment équivoque. Dans la même veine, la difficulté à distinguer la part de construction et de naturalité dans l’origine de ces stéréotypes les rend peu opérants comme variables indépendantes. Il y a bien longtemps, John Stuart Mill avait d’ailleurs déjà – dans son essai sur « l’assujettissement des femmes » – souligné une telle difficulté. Et il est vrai que l’enlisement d’une partie des études de genre dans des querelles pseudo-scientifiques pour s’opposer aux courants naturalistes et essentialistes s’est révélé peu efficace. Une approche plus souple des stéréotypes serait nettement plus fructueuse : il s’agirait avant tout de dénoncer les idées reçues sur le « masculin » et le « féminin » en tant qu’elles sont contraires à la liberté individuelle et de construire une approche alternative faisant droit aux notions de différence et de liberté, sans même rentrer dans le débat, insoluble en l’état, entre déterminants naturels et construction sociale.La nécessité de projets positifsIl est également nécessaire de combler une autre lacune profonde des études de genre, à savoir : une terrible faiblesse de réflexion sur les objectifs à long terme d’une société plus juste. Loin d’être forcément toutes rivées sur l’égalité matérielle, comme le prétend à plusieurs reprises Godefridi, ces approches omettent tout simplement la dimension prescriptive et propositionnelle inhérente à toute construction intellectuelle de qualité. Ainsi, elles négligent l’élaboration d’un discours positif sur la différence qui soit compatible avec l’émancipation de chacun.Un tel défaut caractérise également le travail de Drieu Godefridi. Au-delà de la déconstruction critique des pensées adverses, l’intellectuel se doit d’avoir le courage et l’énergie, d’une part, d’élucider ses propres référents normatifs, idéologiques et axiologiques et, d’autre part, de mettre en avant un projet alternatif. C’est là une véritable pré-condition à l’émergence d’une réflexion non seulement rationnellement convaincante mais aussi socialement transformatrice.◾Drieu Godefridi, La loi du genre, Les Belles Lettres, août 2015, 80 pages.—Lire aussi : La loi du genre : interview de Drieu Godefridi
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